A. Sbacchi, Legacy of Bitterness. Ethiopia end fascist Italy, 1935-1941, The Read Sea Press, 1997. Voir en particulier le chapitre 3, Poison gas and atrocities in the Italo-Ethiopian War, 1935-1936, p 55-85. A. Del Boca dir., I gas di Mussolini. Il fascismo e la guerra dEtiopia, Roma, Editori riuniti, 1996 G. Rochat, Lattentato a Graziani e la repressione italiana in Etiopia 1936-1937, in Italia contemporanea, 1975, n. 118, pp 3-38. Plus généralement, voir lœuvre considérable dA. Del Boca, de R Pankhurst. Voir aussi A. Mockler, Haile Selassies war : The Italian Ethiopian campaign, 1936-41, Oxford University Press, 1984, rééd. Grafton Books, 1987. Pour permettre dévaluer les conséquences des mesures législatives, le ministre de la Justice a créé un comité dexamen de la loi sur la prostitution formé de membres proposés par le New Zealand Prostitutes Collective et par les ministres responsables des portefeuilles pertinents Justice, Condition féminine, Jeunesse, Santé, Police, Commerce, et Administrations locales. Selon le rapport du comité, rendu public en mai 2008, la décriminalisation avait jusqualors eu, dans lensemble, des effets positifs. Dailleurs, le comité a examiné les statistiques et conclu, contrairement à lopinion publique, quil ny avait pas eu daugmentation importante du nombre de personnes travaillant dans lindustrie du sexe depuis lentrée en vigueur de la Prostitution Reform Act. Il a précisé que la prostitution de rue ne représentait que 11 de la prostitution en Nouvelle-Zélande, et que depuis 2003, les seules véritables plaintes relatives à la prostitution de rue provenaient de Christchurch et de Manukau, des villes aux prises avec de nombreux autres problèmes sociaux. Le comité était davis que, dans ces cas, des mesures proactives prises au niveau local par ladministration, la police et les organisations non gouvernementales étaient le meilleur moyen de soccuper des conséquences de la prostitution de rue. Alinéa d. Identifier les enfants particulièrement exposés à des risques et entrer contrôle du respect des droits de lhomme. Les autres organisations soccupent du Pour en avoir le cœur net, un journaliste du quotidien kényan Daily Nation. Il a passé la soirée dans une des tavernes bordant la route qui mène à laéroport de la capitale. Afin de lutter contre certaines conséquences de la Prostitution Reform Act, des administrations locales de la Nouvelle-Zélande ont utilisé leurs pouvoirs pour réglementer rigoureusement lindustrie du sexe. Ainsi, dans certains territoires où lopinion publique soppose à la vente des services sexuels à partir du domicile, des règlements ont été adoptés qui rendent difficile linstallation de petits bordels. En outre, certains conseils locaux ont subi des pressions des citoyens qui voulaient éviter le dérangement causé par la prostitution dans leurs quartiers. Ainsi, certaines villes nautorisent linstallation de bordels que dans certaines zones du centre-ville et certains secteurs industriels ou ont adopté des règlements interdisant linstallation détablissements de prostitution à proximité des écoles, des garderies, des immeubles du gouvernement, des lieux de culte et des zones résidentielles. Dans certaines villes, ces restrictions ont fait quil est presque impossible de trouver un endroit où il soit légal de se livrer à la prostitution. Ce recours à la réglementation locale pour pratiquement interdire ou, du moins, limiter grandement la prostitution a frustré les partisans de la décriminalisation, qui constatent que ces mesures locales ont considérablement atténué leffet de la Prostitution Reform Act. Chercher aussi sur: Web Actualités Encyclopédie Images Context
Ce client, qui est-il? Il ny a pas de profil type. Il y a celui qui va voir les traditionnelles, les Nigérianes souvent très jeunes, les Chinoises, les filles de lEst Il peut être âgé, jeune, aisé socialement ou pas du tout, porter une barbe de bûcheron ou un survêt. Il peut être célibataire ou marié depuis des années, religieux ou laïc. Il peut être chômeur, homme politique, de médias, commerçant, peintre en bâtiment. Un père qui emmène son fils Que cherche-il? Une relation sexuelle quil ne pourrait pas obtenir sans payer? Être moins timide? Assouvir des fantasmes? Détenir un pouvoir? Alganesh Alebel, 30 ans, est son seul modèle extérieur. Formée aux questions familiales, la tante de Wubit vit en ville, à Debark. Elle y dirige lassociation des femmes avec Hadera Melesse, 27 ans, chargée denseigner de nouvelles techniques aux paysans. Ensemble elles battent la campagne pour faire passer le message du gouvernement et des associations non gouvernementales: le mariage précoce est dangereux pour la santé des petites filles et, en Ethiopie, il est illégal. Il fait partie des pratiques traditionnelles néfastes dont la liste, établie par un comité national en 1998, contient notamment lexcision, linfibulation et les mariages par enlèvement. Si lon se fonde sur la Déclaration universelle des droits de lhomme de 1948, la Convention sur lélimination de toutes les formes de discrimination à légard des femmes de 1979, la Convention relative aux droits de lenfant de 1989 et la Constitution éthiopienne de 1994, le mariage denfants doit être éradiqué, explique Tabeyin Gedlu, qui est chargée de ce lourd dossier à lUnicef. Car mariage précoce signifie esclavage, viol et pédophilie. Cest une atteinte à la liberté individuelle. Cest un vol denfance. Le propriétaire dun bordel doit respecter un très grand nombre de conditions pour obtenir et conserver son permis. Ces conditions se répartissent généralement en un certain nombre de catégories : règlement sur le bâtiment p Ex. Mesures de protection contre les incendies, hygiène p Ex. Alimentation en eau chaude et froide et sécurité p Ex. Installation de boutons dalarme dans les chambres. Voir Judith Kilvington, Sophie Day et Helen Ward, 162 ko, 16 pages, Feminist Review, no 67, printemps 2001, p 82. LAnti-Red Terror Committee a été établi en 1991 comme au moyen dune sollicitation répréhensible, incite une autre personne à avoir des relations sexuelles ou à commettre un acte contraire à la décence ou des actes de débauche de quelque type que ce soit, Julie Gichuru, ancienne présentatrice et personnalité médiatique, a posté un tweet le 25 octobre pour souligner le plaisir que M. Quest semble avoir à passer son temps au Kenya.
CRC-OP-IC-Protocole facultatif à la Convention relative aux droits de lenfant La commission prend note du premier rapport du gouvernement et le prie de lui donner des informations complémentaires sur les points suivants. LaMarchegiana va ofera o gama larga de produse special concepute pentru casa si confortul dumneavoastra!
En Ethiopie, lorsque quelquun vient de mourir, un homme passe dans son quartier à 6 heures du matin en jouant la Turumba. Puis, dans les campagnes comme à Addis-Abeba, la capitale, les hommes montent une grande tente dans la rue, près de la maison du défunt, sous laquelle se rassemblent la famille et les voisins. Douze jours après la mort, puis à nouveau quarante jours plus tard, les invités reviennent participer à des cérémonies funèbres de moindre importance. Cette tradition-à laquelle on ne peut se soustraire, sous peine dexclusion sociale-coûte si cher que la plupart des familles se mettraient dans une situation financière difficile si elles navaient auparavant cotisé tous les mois à liddir, une caisse spéciale prévue pour les enterrements. Le montant de la cotisation varie, selon la richesse du quartier, de 3 à 10 birrs soit 10 FF au plus. Le directeur de liddir, qui gère les finances de la caisse, est un homme influent qui joue un rôle important dans le quartier. Dans bien des cas, il faut passer par lui pour quune initiative aboutisse. Cest ce qua fait le jeune Fasil Nabeyeleleul, à Addis-Abeba, pour des raisons dramatiques. Goffman, E, 1975, Stigmate. Les usages sociaux des handicaps, Paris, Les Éditions de Minuit.